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Solutions des quêtes et balades

Résultats de la première étape (en partie) :



la « salle Z » et ses voûtes, tournées, consolidées et inspirées de l'art roman. La salle Z est un lieu de prédilection pour les fêtes cataphiles, même si la fréquentation a beaucoup diminué. elle se situe :



« la plage » Il s'agit d'une salle construite depuis une vingtaine d'années et dont le sol est constitué de sable de comblement. L'on remarquera sur ses murs une réplique d'une peinture du Japonais Hokusai. Elle se situe :



« le château », grande salle ornée de gargouilles comporte une table ronde cernée par des bancs. Un château fort miniature y a été sculpté et un chandelier en fer forgé se dresse au milieu. Elle se situe :

les galeries de craies, Hauteur sous plafond impressionnante, plusieurs niveaux... et beaucoup moins tortueux/dangereux que sous les 13e et 14e arrondissement. elle se situe : sous Issy-les-moulineaux et Meudon



la tombe de Philibert Aspairt, le portier du Val-de-Grâce qui a perdu son chemin dans les souterrains de Paris en 1793. Elle se situe :



La-salle-du-Chandelier, Cette salle fait partie du réseau inférieur sous le cimetière de Montparnasse. En décoration on note un chandelier, une lanterne, des ossements et de belles fresques.



La fontaine des Chartreux. Un peu au sud de l'ancien bunker Allemand, aux abords du lycée Montaigne se trouve une bien insolite fontaine.



la Tombe Fernand Arbelot sur paris et sa particularité.(père lachaise)
http://www.routard.com/photos/paris/53957-tombe_fernand_arbelot.htm



Résultat de la Deuxième étape :

 

LA CYBELLE


Cybelle, si belle mais si inquiétante, déesse de la terre, fille du ciel, épouse de saturne, mère de Jupiter, de Junon, de Neptune, de Pluton symbolisait l'énergie enfermée dans la terre, symbole de la fécondité, la déesse mère. Les voyants et autres diseurs de bonne aventure ont profité des qualités occultes des carrières de Paris pour des mises en scène théâtrales nécessaires à leur "art".
Une mystérieuse Cybelle était censée occuper des ateliers abandonnés d'une carrière située sous le lac Montsouris. La légende de cette Femme habitant au font des carrières obscures et humides frappa longtemps les esprits populaires. Cette dernière laissa dans son atelier de nombreux indices sur l'inconnu (sa vie, son logement, .....)



une quête supplémentaire : L'inconnu est né un vendredi en 1314.


certains d’entre nous sont atteints de « paraskevidékatriaphobie » : la phobie de ce jour particulier. quel est ce jour ?
Source : http://paris-insolite.curiocites.com/ Même s’il y en a 3 par an, c’est toujours la même question que l’on se pose … D’où vient l’origine du caractère chanceux (ou malchanceux) du Vendredi 13 ?

Il y a des origines religieuses : dans le nouveau testament, on associe le vendredi 13 au vendredi 13 Nissan de la Crucifixion de Jésus-Christ, qui précède le dimanche de la Résurrection.

Et même dans le récit biblique de la Création du Monde, le vendredi, veille de Shabbat, est le sixième jour ; le treizième jour est donc également un vendredi.

Mais il y aussi une origine historique, cette fois plutôt malchanceuse voire synonyme de malédiction : c’est le vendredi 13 octobre 1307 que le roi Philippe le Bel fait arrêter les membres de l’ordre du Temple dans leur enclos situé aujourd’hui dans le 3ème arrondissement de Paris.


Philippe Le Bel
Suit 7 années de procès et de torture afin qu’ils avouent des crimes qu’ils n’ont pas commis. Ceux qui reviennent sur leurs affirmations sont condamnés au bûcher en 1314 qui sera installé sur la pointe de l’Ile de la Cité (anciennement Ile aux Juifs).

Et c’est depuis ce bûcher que Jacques de Molay, grand mâitre du Temple, aurait lancé sa fameuse malédiction condamnant le roi Philippe Le Bel, le pape Clément et l’inquisiteur Guillaume de Nogaret à trépasser l’année suivante… evènement qui se produisit pour les 3 protagonistes..


La malédiction depuis le bûcher
Suivra la fin des Valois et la guerre de Cent ans : une belle malédiction qui quelque part aurait son origine … ce fameux Vendredi 13, date de leur arrestation.

 

Résultat des balades :


sources : http://www.troude.com/

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Ces cimetières étaient nombreux ; pas une église, pas un hospice, pas un couvent qui n'eût le sien. Aussi a-t-on pu dire que "les bourgades des morts étaient disséminées à travers la ville des vivants". On pourrait ajouter que la plupart des grands noms de la vieille France ont figuré sur les registres d'écrou de ces prisons perpétuelles. Saint-Paul, qui possédait un des plus vastes charniers de Paris et l'un des mieux ornés, cacha Rabelais sous un noyer. Saint-Germain-des-Prés reçut les dépouilles des rois de la première race, des Mérovingiens (...), le tombeau de Descartes et de Boileau (...). C'est dans l'Abbaye de Sainte-Geneviève que se trouvaient, avant sa démolition en 1802, les ossements de Clovis et de sainte Clotilde, sa femme (...), le Couvent des Filles-de-la-Croix possédait ceux de Cyrano de Bergerac (...), les Petits-Pères ceux du musicien Lully (...). Molière et La Fontaine se retrouvèrent au cimetière Saint-Joseph. Montesquieu s'en alla méditer, rue de Bagneux, sur la grandeur et la décadence des Romains (...). A Picpus, le marquis de La Fayette. Dans un enclos voisin, les 1300 victimes guillotinées, place du Trône, entre le 26 prairial et le 9 thermidor an II. En 1794, les corps de Mirabeau et de Marat furent transférés du Panthéon dans le cimetière de Saint-Etienne-du-Mont (...). Au grand gibet de Montfaucon, situé sur une éminence, au delà des faubourg Saint-Martin et du Temple, une fosse tenait lieu de charnier. Les restes de suppliciés y tombaient quand leurs corps étaient en décomposition. Montfaucon possédait trois étages de poutres garnies de chaînes et de liens. A chaque étage, dix pendus pouvaient voisiner à la fois (...). 

Sous l'Ancien Régime, la plupart des cimetières étaient réservés aux catholiques. Sous Henri IV et Louis XIII, les réformés en possédaient deux : l'un derrière Saint-Sulpice, l'autre rue des Saints-Pères, sur l'emplacement occupé par l'Ecole des Ponts-et-Chaussées. La révocation de l'édit de Nantes contraignit les protestants à enfouir leurs morts en des points de la ville ignorés du public. Les enterrements se faisaient la nuit, le plus souvent dans des terrains vagues ou des propriétés particulières (...). Au moyen-âge, les Israélites avaient deux cimetières, l'un rue Garlande, le second rue de la Harpe (...). Vers la fin du XVIIIème siècle, ils fondèrent un nouveau cimetière du côté de la Villette (...).

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